UN P'TIT TOUR EN BROUETTE ?...
Actualité publiée le 01/06/2016
LE SAMEDI 14 MAI
Ça y est, les petites truffes sont désormais totalement familiarisées avec les bruits extérieurs : son pétaradant de la tondeuse, doux gazouillis des oiseaux, premiers orages… Il s’en passe dehors… Ils ont même eu droit à leur petit tour en brouette :) Pas facile de la soulever d’ailleurs cette brouette : les petits n’en finissent plus de grandir… Le robuste Mozart a passé la barre des 2 kg et le costaud Marcus, qui n’est jamais très loin derrière son grand-frère (et ce, depuis la mise-bas) y est presque avec 1,8 kg. Même le petit Merlin et la petite Myrtille, avec respectivement 1,4 kg et 1,3 kg, pèsent maintenant leur poids. Quant à Mme Bovary et Marguerite, les deux filles costaudes de la bande, elles se rapprochent du poids des deux frères avec 1,6 kg. Bref, il est de plus en plus difficile d’en prendre un sous chaque bras… !
Il faut dire que ces petits gaillards se ruent avec de plus en plus d’ardeur sur les croquettes qui n'ont d'ailleurs plus besoin d'être imbibées de lait pour passer dans les petits gosiers… « Ben oui, on n’est plus des bébés »… Un peu quand-même quand on voit leurs adorables bouilles, qu’on craque sur leur petit ventre rebondi, quand on les voit courir derrière leur maman pour tenter d’attraper une mamelle comme un enfant essaie d’attraper un « pompon » et qu’on observe, amusé, à toutes leurs bêtises et facéties… Parmi elles : chasser le balai, grignoter le ramasse-poussière, s’enfuir avec le rouleau de sopalin, jouer dans le lierre, creuser des mini-trous et sortir de là la truffe pleine de terre, mâchouiller de petits bouts de bois comme du zan, sautiller dans les flaques d’eau et trouver ça rigolo, manger de l’herbe pour imiter maman… et les plantes des pots de fleur parce qu’on ne fait pas encore bien la différence…. La liste est longue et la surveillance constante ;)
Maman Gaby les observe de loin avec bienveillance et n’intervient plus que lorsque les jeux-bagarres, deviennent trop rudes : grognements, chouinements, couinements et aboiements qui font très peur. Là où elle est encore pleinement dans son rôle de maman, c’est quand un petit privilégié s'invite le soir au salon (chacun son tour avec une rotation sur 6 jours, sauf le dimanche c’est repos ;). Elle peut alors en profiter pleinement sans craindre que 6 paires de canines ne se jettent sur elle et la poursuivent dans toute la maison, gloutons voraces. Là, la séquence émotion a lieu à coup sûr : elle se roule sur le dos, s’offre à son chiot qui n’en demande pas moins, le mordille sans jamais lui faire mal, le lèche partout tant et si bien que la petite truffe chanceuse en ferme les yeux pour mieux apprécier l’instant… Ce moment de tendresse peut durer 1 minute, 5 minutes, voire 30 minutes (record battu avec Merlin et Marguerite dont Maman Gaby est très proche), puis chacun vaque de nouveau à ses occupations, maman Gaby retourne se coucher dans son panier, et la petite truffe ne trouve rien de mieux à faire… qu’un petit pipi… Hop, finie la séquence émotion il faut réagir vite : ouverture de la baie vitrée, « transfert » de la petite truffe dans l’herbe accompagné d’une injonction, toujours la même pour que ça puisse bien s’imprimer : « Pipi dehors ! ». Eh oui, même tout petit, à pas encore tout à fait 2 mois, on peut commencer à apprendre les bonnes manières et à acquérir les bons réflexes. Ah là là, la route est longue pour devenir un beau et bon chien parfaitement éduqué mais si deux ingrédients essentiels sont réunis au sein du foyer, à savoir une bonne dose d'amour et de patience, ça marche à tous les coups…:)
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Ça y est, les petites truffes sont désormais totalement familiarisées avec les bruits extérieurs : son pétaradant de la tondeuse, doux gazouillis des oiseaux, premiers orages… Il s’en passe dehors… Ils ont même eu droit à leur petit tour en brouette :) Pas facile de la soulever d’ailleurs cette brouette : les petits n’en finissent plus de grandir… Le robuste Mozart a passé la barre des 2 kg et le costaud Marcus, qui n’est jamais très loin derrière son grand-frère (et ce, depuis la mise-bas) y est presque avec 1,8 kg. Même le petit Merlin et la petite Myrtille, avec respectivement 1,4 kg et 1,3 kg, pèsent maintenant leur poids. Quant à Mme Bovary et Marguerite, les deux filles costaudes de la bande, elles se rapprochent du poids des deux frères avec 1,6 kg. Bref, il est de plus en plus difficile d’en prendre un sous chaque bras… !
Il faut dire que ces petits gaillards se ruent avec de plus en plus d’ardeur sur les croquettes qui n'ont d'ailleurs plus besoin d'être imbibées de lait pour passer dans les petits gosiers… « Ben oui, on n’est plus des bébés »… Un peu quand-même quand on voit leurs adorables bouilles, qu’on craque sur leur petit ventre rebondi, quand on les voit courir derrière leur maman pour tenter d’attraper une mamelle comme un enfant essaie d’attraper un « pompon » et qu’on observe, amusé, à toutes leurs bêtises et facéties… Parmi elles : chasser le balai, grignoter le ramasse-poussière, s’enfuir avec le rouleau de sopalin, jouer dans le lierre, creuser des mini-trous et sortir de là la truffe pleine de terre, mâchouiller de petits bouts de bois comme du zan, sautiller dans les flaques d’eau et trouver ça rigolo, manger de l’herbe pour imiter maman… et les plantes des pots de fleur parce qu’on ne fait pas encore bien la différence…. La liste est longue et la surveillance constante ;)
Maman Gaby les observe de loin avec bienveillance et n’intervient plus que lorsque les jeux-bagarres, deviennent trop rudes : grognements, chouinements, couinements et aboiements qui font très peur. Là où elle est encore pleinement dans son rôle de maman, c’est quand un petit privilégié s'invite le soir au salon (chacun son tour avec une rotation sur 6 jours, sauf le dimanche c’est repos ;). Elle peut alors en profiter pleinement sans craindre que 6 paires de canines ne se jettent sur elle et la poursuivent dans toute la maison, gloutons voraces. Là, la séquence émotion a lieu à coup sûr : elle se roule sur le dos, s’offre à son chiot qui n’en demande pas moins, le mordille sans jamais lui faire mal, le lèche partout tant et si bien que la petite truffe chanceuse en ferme les yeux pour mieux apprécier l’instant… Ce moment de tendresse peut durer 1 minute, 5 minutes, voire 30 minutes (record battu avec Merlin et Marguerite dont Maman Gaby est très proche), puis chacun vaque de nouveau à ses occupations, maman Gaby retourne se coucher dans son panier, et la petite truffe ne trouve rien de mieux à faire… qu’un petit pipi… Hop, finie la séquence émotion il faut réagir vite : ouverture de la baie vitrée, « transfert » de la petite truffe dans l’herbe accompagné d’une injonction, toujours la même pour que ça puisse bien s’imprimer : « Pipi dehors ! ». Eh oui, même tout petit, à pas encore tout à fait 2 mois, on peut commencer à apprendre les bonnes manières et à acquérir les bons réflexes. Ah là là, la route est longue pour devenir un beau et bon chien parfaitement éduqué mais si deux ingrédients essentiels sont réunis au sein du foyer, à savoir une bonne dose d'amour et de patience, ça marche à tous les coups…:)